En 1990, face à diverses initiatives visant à garder « la laïcité ans sa pureté », la Ligue organise des assises de la « laïcité plurielle ».
L’adjonction d’un adjectif à laïcité est vivement contestée, y compris au sein de la Ligue. Aussi, la Ligue, tout en gardant sa volonté d’agir contre toutes les prétentions dogmatiques ou uniformisantes d’où qu’elles viennent, abandonnera la formule dans les années suivantes.